Qui est Pascal ?
- Pascal Ivanez
- 20 avr.
- 3 min de lecture
Il y a des êtres qu’on ne présente pas comme on remplit un CV.
Pascal fait partie de ces êtres-là.
On ne peut pas le réduire à une fonction, un métier, une étiquette.
Il est de ceux qui vibrent, qui écoutent, qui relient.
De ceux dont la présence suffit à déclencher un mouvement intérieur.
l est ce genre de personne qu’on croise parfois sans le chercher, mais qui laisse une empreinte durable, comme une empreinte d’âme.
Il ne parle pas fort, mais ce qu’il dit résonne.
Il ne cherche pas à impressionner, mais il marque.
Et dans un monde bruyant, sa tranquillité devient un repère.Voici qui il est, dans toute sa simplicité profonde :
Pascal est de ceux qu’on ressent avant même de les entendre.Sa présence parle sans bruit. Elle pose une douceur, un calme, une vibration subtile qui fait du bien. On ne saurait dire pourquoi, mais près de lui, quelque chose s’ouvre. Un espace invisible, mais bien réel, dans lequel on se sent vu, accueilli, respecté. Pas besoin de se justifier, ni de se défendre : on peut être.
Une âme douce et profonde, à la fois discrète et vibrante, qui marche entre les mondes avec une justesse rare.
Pascal ne force rien, ne s’impose pas. Il avance avec délicatesse dans les sphères visibles et invisibles, avec la conscience de celui qui a beaucoup observé, vécu, traversé. Sa sensibilité n’est pas une faiblesse, mais une force tranquille. Elle le rend capable de percevoir ce qui est souvent tu, enfoui, dissimulé. Et dans ce regard, il n’y a ni jugement, ni attente. Il y a accueil.

Poissons ascendant Balance, il capte l’invisible avec naturel, et tisse des espaces de guérison où l’on se sent vu, accueilli, compris.
Ce n’est pas un don qu’il met en avant, mais une manière d’être au monde. Pascal a appris à écouter avec tout son être : l’intuition, le souffle, la mémoire du corps. Il ne “fait pas des soins” comme on suit un protocole. Il écoute, il ressent, il ajuste, en laissant la vie circuler là où elle avait été figée. Il crée des espaces où les systèmes peuvent se relâcher, où les émotions peuvent enfin s’exprimer sans être jugées.
Il ne cherche pas à guider. Il est.
Dans un monde où chacun veut convaincre, influencer ou orienter, Pascal choisit la voie de la présence. Et c’est peut-être ce qui touche le plus chez lui : cette absence de volonté de convaincre, cette posture juste qui laisse l’autre libre de ressentir, de cheminer, de se révéler. Il n’a pas besoin de diriger une séance ou de mener une quête. Il est là, simplement, et cela suffit à activer ce qui a besoin d’émerger.
Sa parole apaise, sa vibration résonne, sa simple écoute devient miroir.
Les mots qu’il pose viennent du cœur, jamais du mental. Ils résonnent, vibrent, comme une onde douce qui traverse les nœuds, les cuirasses, les résistances. Il parle peu, mais quand il parle, ça touche. Il écoute beaucoup, et dans cette écoute, les gens se sentent enfin entendus. Comme si son silence disait déjà : "je te vois, tu peux poser ce fardeau".
Son chemin porte la mémoire de ceux qui ont connu l’instabilité, le manque, le renoncement… et il est venu réconcilier l’âme et la matière, la foi et la réalité du corps, le subtil et le concret.
Pascal sait ce que c’est que d’avoir manqué de repères, d’avoir marché sans carte, d’avoir dû tout déconstruire pour retrouver l’essentiel. Il porte en lui cette mémoire : celle des déracinés, des sensibles, des marginaux, des chercheurs d’absolu. Ceux qui ont dû, un jour, dire non à l’illusion pour retrouver leur vérité. Ceux qui ont traversé des tempêtes pour retrouver la lumière de l’intérieur.
Avec une sagesse innée et un grand cœur, il transmet sans imposer, inspire sans dominer.Pascal partage ce qu’il a vécu, ce qu’il a intégré. Il ne prêche pas, il n’enseigne pas comme on donne une leçon. Il transmet par l’exemple, par l’authenticité, par la qualité de sa présence. Il rappelle que chacun a sa propre voie, et qu’il n’y a rien à atteindre, juste à être pleinement soi.
Pascal n’est pas dans les codes. Il est dans l’évidence.Dans ces instants suspendus où une énergie se libère, où un ancêtre retrouve sa place, où le système s’apaise.
Et quand on repart de ces instants partagés avec lui, il reste une trace.
Pas forcément des mots à raconter, mais un ressenti, un souffle.
Quelque chose en soi qui s’est remis à bouger, à respirer, à croire que c’est possible.
Et c’est peut-être ça, la vraie médecine : celle qui ne soigne pas les symptômes, mais qui réveille le vivant.
Un espace où l’on n’a pas besoin de performer. Où l’on peut respirer.
Un espace où les mots n’ont pas besoin d’être parfaits, parce que l’essentiel est déjà entendu.
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