Dans l’ombre douce de mes jours passés,La peur du manque, telle une chaîne à porter,Insidieuse, elle m’enlace, m’appelle,
Me gardant proche de l’ombre et de la ruelle.
Oh, peur d’être libre, étreinte incertaine,Au bord du rêve, une mer sans chaîne,La liberté scintille, promesse enivrante,
Mais dans son souffle, une angoisse déconcertante.
Le succès, ami aux multiples visages,
Éveille en moi un frisson, un orage,
Les attentes, lourdes, pèsent sur mes épaules,
Et je crains le sommet, cette montagne folle.
Obligations et devoirs, voiles en furie,
Des liens serrés qui m’emmènent à la nuit,
Mais dans ce tumulte, j’entends une voix,
Une invitation douce à embrasser ma foi.
L’inconnu m’appelle, comme un chant lointain,
Franchir ces frontières, briser les refrains,
Dans les brumes d’un monde encore inexploré,
Se cache la force de tout recommencer.
Ainsi, je danse, en quête de lumière,
Transformant mes peurs en chants de poussière,
Car c’est dans ce voyage, au-delà des ombres,
Que naît la véritable essence qui m’ombroie.
Oh, cœur en émoi, trouve le courage,
De franchir l’inconnu, d’écrire ton passage,
De redéfinir le succès en un doux refrain,
Et de danser la vie, main dans la main.
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